Le vrai combat de Yan

Un peu comme Tartoll le fait (eh oui, je sais que je l'ai copié, mais je voulais faire ceci depuis quelques jours, ce n'est que son post qui m'a encouragé à le faire.

Je raconterais la vie de Yan avec plus de détails. Ceci pour un peu arrêter de m'apitoyer son ma courte version d'histoire.



Sortant à peine de ses dix-huit ans, Yan n'avait plus toute sa mémoire. Il se rappelait de ses parents. Comment ils le traitaient avec tout l'amour qu'ils pouvaient offrir. Seulement, tout s'arrête alors qu'il n'avait que seize ans. Les deux ans qui manquaient laissait place à un immense trou. La seule chose qu'il sait, c'était qu'il s'était réveillé en plein milieu de la forêt, les vêtements tachés de sang ; le sang d'un autre personne. Ne sachant pas quoi faire, il avait marché marché jusqu'à ce qu'il trouve une rivière. Il avait enlevé sa tunique et son pantalon pour les tremper dans l'eau, la chargeant de nettoyer le sang. Le jeune homme aux cheveux blanc en avait profité aussi pour se regarder dans le reflet de l'eau. À sa grande surprise, il avait constaté que ses yeux était brun-jaune au lieu du bleu étincelant habituel des Tyens.

Après quelques jours, il avait trouvé un village où par chance, ses grand-parents habitaient. Depuis ce jour, et ce durant plus de trois ans, il resta dans leur maison, tentant le plus possible de recouvrer sa mémoire perdue.



- Je vais au marché, grand-mère !

- Tente de revenir avec quelque chose de plus nourrissant que des céleris cette fois-ci.

- Oui, je ferai attention cette fois-ci.

Yan avait, il y avait de cela plusieurs mois, eu la mégarde de rapporter un jour un sac rempli de branches de céleri qui avait l'air délicieuses. Ce qu'il ignorait, c'était que sa grand-mère détestait ces légumes. Yan s'était dit qu'il n'aurait qu'à les garder pour lui-même. Lorsqu'il prit pour la première fois une couchée de céleri, Yan a commencé par trouver que cela n'avait aucun goût. Et puis, à peine deux secondes après, un goût immonde empli sa gorge. Décidément, il détestait autant que sa grand-mère les céleris. Il avait fallu que son grand-père les mange lui-même.

(Suite plus tard )